•  <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600">

    Qu’y a-t-il dans un trou noir ?<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Ce n’est pas parce qu’on ne peut pas voir les trous noirs qu’on ne les connaît pas ! les astronomes commencent même à s’en faire une assez bonne idée. Ils savent que le centre d’un trou noir est un point – ils appellent cela une « singularité » - où les lois de la physique telle que nous la connaissons n’ont plus cours : même l’espace et le temps y sont totalement déformés. Ce centre attire inexorablement à lui tout ce qui se trouve à sa portée. Il est entouré d’un disque où la matière et la lumière tourbillonnent en attendant d’être précipitées dans la singularité. La frontière de ce disque, qui marque la limite entre le trou noir et l’extérieur, est appelée « horizon des évènements ». C’est une zone de « non retour » en ce sens que tout ce qui y pénètre ne ressort plus jamais. Aucune information ne peut donc filtrer au dehors.<o:p></o:p>

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    Dans un trou noir, le temps se ralentit<o:p></o:p>

    Dans ces conditions, le seul indice que l’on puisse espérer recueillir de l’existence d’un trou noir provient de la matière juste avant qu’elle ne pénètre dans l’horizon des évènements . Car, à ce moment, elle s’échauffe énormément et émet alors un puissant flux de rayons X. C’est en quelque sorte son dernier message avant d’être piégée par le trou noir.. Qu’adviendrait-il d’un astronaute téméraire qui déciderait d’aller y voir de plus près ? Dès qu’il franchirait l’horizon des évènements, il ne pourrait plus communiquer avec l’extérieur et disparaîtrait à jamais. On peut toutefois imaginer ce qui lui arriverait à l’intérieur du trou noir : il commencerait par s’étirer démesurément, sa vitesse s’accélèrerait et son « temps propre » se ralentirait à mesure qu’il s’approcherait de la singularité. Autrement dit, les battements de son cœur s’espaceraient considérablement, sans qu’il en ait le moins du monde conscience. Et chaque minute qu’il chronomètrerait à sa montre durerait l’équivalent, pour nous terriens, d’une éternité.<o:p></o:p>

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    Rayons X : rayonnement de même type que la lumière visible, mais beaucoup plus énergétique. Pour cette raison, les rayons X peuvent traverser la matière et son employés en imagerie médicale.<o:p></o:p>

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    Les trous noir sont invisible car ils ne dégagent aucune lumière (il ne font que l’absorber).<v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t" o:extrusionok="f"></v:path><o:lock aspectratio="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype>

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  • Le corbeau et le lapin..

                 Maître corbeau sur un arbre était perché
                   à ne rien faire toute la journée.
                   Un lapin voyant ainsi le corbeau,
                   l'interpelle et lui demande aussitôt:
                   Moi aussi, comme-toi, puis-je m'asseoir
                   et ne rien faire du matin jusqu'au soir ?"

                   Le corbeau lui répond de sa branche :
                   bien sûr mon ami à la queue blanche,
                   je ne vois ce qui pourrai t'empêcher
                   le repos, de la sorte, rechercher."

                   Blanc lapin s'assoit alors par terre ,
                   et sous l'arbre reste à ne rien faire,
                   tant et si bien qu'un renard affamé,
                   voyant ainsi le lapin somnoler,
                   s'approchant du rongeur en silence,
                  d'une bouchée en fait sa pitance.

    Moralité :  

    Pour rester assis à ne rien branler, Il vaut bien mieux être haut placé

     

     


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  • L'amour : c'est la plus belle expression des sentiments. L'amour dépasse la raison et ne peut exister sans la passion. Il fleurit en tendresse et en patience. La joie est la fleur qui pousse sur la tige de l'amour.  Aimer, c'est donner beaucoup et prendre un peu.        

    L'amitié : c'est la complicité et la confiance. C'est un attachement profond qui nous lie à un compagnon pour qui nous avons une grande affection. Une véritable amitié, c'est comme une étoile. Elle brille vraiment que lorsque nous traversons les périodes sombres de notre vie.


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  • Le Diamant et la Goutte de Rosée

    (Conte allemand.)

    Un beau diamant, qui avait autrefois brillé au doigt d'une princesse, gisait dans un pré, à côté de pissenlits et de pâquerettes. Juste au-dessus de lui, brillait une goutte de rosée qui s'accrochait timidement à un brin d'herbe.
    Tout en haut, le brillant soleil du matin dardait ses rayons sur tous les deux, et les faisait étinceler.
    La modeste goutte de rosée regardait le diamant, mais sans oser s'adresser à une personne d'aussi noble origine.
    Un gros scarabée, en promenade à travers les champs aperçut le diamant et reconnut en lui quelque haut personnage.
    - Seigneur, dit-il en faisant une grande révérence, permettez à votre humble serviteur de vous offrir ses hommages.
    - Merci, répondit le diamant avec hauteur.
    En relevant la tête, le scarabée aperçut la goutte de rosée.
    - Une de vos parentes, je présume, monseigneur ? demanda-t-il avec affabilité en dirigeant une de ses antennes vers la goutte de rosée.
    Le diamant partit d'un éclat de rire méprisant.
    - Quelle absurdité! déclara-t-il. Mais qu'attendre d'un grossier scarabée ? Passez votre chemin, monsieur. Me mettre, moi, sur le même rang, dans la même famille qu'un être vulgaire, sans valeur et le diamant s'esclaffait.
    - Mais, monseigneur, il me semblait… sa beauté n’est-elle pas égale à la vôtre ? balbutia timidement le scarabée déconfit.
    - Beauté, vraiment ? Imitation, vous voulez dire. En vérité, l'imitation est la plus sincère des flatteries, il y a quelque satisfaction à se le rappeler. Mais cette beauté factice même est ridicule si elle n'est pas accompagnée de la durée. Bateau sans rames, voiture sans chevaux, puits sans eau, voilà ce que c'est que la beauté sans la fortune. Aucune valeur réelle là où il n'y a ni rang ni richesse. Combinez beauté, rang et richesse, et le monde sera à vos pieds. A présent, vous savez pourquoi on m'adore.
    Et le diamant lança de tels feux que le scarabée dut en détourner les yeux, pendant que la pauvre goutte de rosée se sentait à peine la force de vivre, tant elle était humiliée.
    Juste alors une alouette descendit comme une flèche, et vint donner du bec contre le diamant.
    - Ah! fit-elle désappointée, ce que je prenais pour une goutte d'eau n'est qu'un misérable diamant. Mon gosier est desséché, je vais mourir de soif.
    - En vérité! Le monde ne s'en consolera jamais, ricana le diamant.
    Mais la goutte de rosée venait de prendre une soudaine et noble résolution.
    - Puis-je vous être utile, moi ? demanda-t-elle.
    L'alouette releva la tête.
    - Oh! ma précieuse amie, vous me sauverez la vie.
    - Venez, alors.
    Et la goutte de rosée glissa du brin d'herbe dans le gosier altéré de l'alouette.
    - Oh! oh! murmura le scarabée en reprenant sa promenade. Voilà une leçon que je n'oublierai pas. Le simple mérite vaut plus que le rang et la richesse sans modestie et sans dévouement; il ne peut y avoir aucune réelle beauté sans cela.

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  • (Conte allemand.)

    Un beau diamant, qui avait autrefois brillé au doigt d'une princesse, gisait dans un pré, à côté de pissenlits et de pâquerettes. Juste au-dessus de lui, brillait une goutte de rosée qui s'accrochait timidement à un brin d'herbe.
    Tout en haut, le brillant soleil du matin dardait ses rayons sur tous les deux, et les faisait étinceler.
    La modeste goutte de rosée regardait le diamant, mais sans oser s'adresser à une personne d'aussi noble origine.
    Un gros scarabée, en promenade à travers les champs aperçut le diamant et reconnut en lui quelque haut personnage.
    - Seigneur, dit-il en faisant une grande révérence, permettez à votre humble serviteur de vous offrir ses hommages.
    - Merci, répondit le diamant avec hauteur.
    En relevant la tête, le scarabée aperçut la goutte de rosée.
    - Une de vos parentes, je présume, monseigneur ? demanda-t-il avec affabilité en dirigeant une de ses antennes vers la goutte de rosée.
    Le diamant partit d'un éclat de rire méprisant.
    - Quelle absurdité! déclara-t-il. Mais qu'attendre d'un grossier scarabée ? Passez votre chemin, monsieur. Me mettre, moi, sur le même rang, dans la même famille qu'un être vulgaire, sans valeur et le diamant s'esclaffait.
    - Mais, monseigneur, il me semblait… sa beauté n’est-elle pas égale à la vôtre ? balbutia timidement le scarabée déconfit.
    - Beauté, vraiment ? Imitation, vous voulez dire. En vérité, l'imitation est la plus sincère des flatteries, il y a quelque satisfaction à se le rappeler. Mais cette beauté factice même est ridicule si elle n'est pas accompagnée de la durée. Bateau sans rames, voiture sans chevaux, puits sans eau, voilà ce que c'est que la beauté sans la fortune. Aucune valeur réelle là où il n'y a ni rang ni richesse. Combinez beauté, rang et richesse, et le monde sera à vos pieds. A présent, vous savez pourquoi on m'adore.
    Et le diamant lança de tels feux que le scarabée dut en détourner les yeux, pendant que la pauvre goutte de rosée se sentait à peine la force de vivre, tant elle était humiliée.
    Juste alors une alouette descendit comme une flèche, et vint donner du bec contre le diamant.
    - Ah! fit-elle désappointée, ce que je prenais pour une goutte d'eau n'est qu'un misérable diamant. Mon gosier est desséché, je vais mourir de soif.
    - En vérité! Le monde ne s'en consolera jamais, ricana le diamant.
    Mais la goutte de rosée venait de prendre une soudaine et noble résolution.
    - Puis-je vous être utile, moi ? demanda-t-elle.
    L'alouette releva la tête.
    - Oh! ma précieuse amie, vous me sauverez la vie.
    - Venez, alors.
    Et la goutte de rosée glissa du brin d'herbe dans le gosier altéré de l'alouette.
    - Oh! oh! murmura le scarabée en reprenant sa promenade. Voilà une leçon que je n'oublierai pas. Le simple mérite vaut plus que le rang et la richesse sans modestie et sans dévouement; il ne peut y avoir aucune réelle beauté sans cela.

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