• On peut facilement deviner la valeur de quelqu'un en regardant comment il traite les personnes dont il n'a pas besoin.  
    ~James D. Miles~


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  • Triangle des bermudes


    Le triangle des Bermudes (aussi nommé triangle du diable) est un triangle imaginaire reliant la côte-est de la Floride, l'île des Bermudes et Porto Rico.  À l'intérieur de ce triangle maudit ont disparu plus d'un millier de personnes, des centaines de navires et d'avions, tout simplement sans explication logique et sans laisser de trace !

    Et pourtant, les commissions d’enquêtes ont statué que ces disparitions n’étaient rien en comparaison des pertes enregistrées n’importe où ailleurs. Sauf que si elles sont peu nombreuses, elles restent sans explications.

    En effet, beaucoup de témoignages font référence à des événements inhabituels tels que la panne totale des équipements de bords, à des phénomènes visuels incompréhensibles ou des observations de curieuses lumières sous-marines. Fait curieux, à l'exception du vol 19, les victimes n'envoient jamais le moindre S.O.S.

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    Les disparitions<o:p></o:p>

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    L'histoire la plus connue est sans doute celle de la disparition du vol 19.<o:p></o:p>

    Le 5 décembre 1945, 5 avions torpilleurs Avenger (le vol 19) partent pour une mission de routine. Au bout d'une heure, le lieutenant Charles Taylor avertit la tour de contrôle qu'ils sont perdus. La tour demande au vol de prendre la direction de l'ouest, mais l'officier lui répond : " Nous ne savons pas où est l'ouest. Tout est faux, étrange. Nous ne sommes sûrs d'aucune direction. Même l'océan ne semble pas comme d'habitude ". Le contact radio est alors rompu.
    2 hydravions bimoteurs part pour leur porter secours
    , mais 20 minutes après leur départ, l’un d’entre eux explose soudainement en plein vol. Un navire, se trouvant en mer à ce moment là, assiste à cette scène plus qu’insolite. L’autre hydravion, lui, continue et arrive sur les lieux où l’escadrille est supposée avoir disparu. Jusqu’au petit matin, il continuera ses recherches mais malheureusement, en vain… Dans les jours qui suivront, plusieurs équipes de secours seront mises en place afin de tenter de retrouver ne serait-ce que les débris des avions, mais encore une fois, cela fut en vain…
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    Cet exemple est certes le plus connu, mais vient s'inscrire dans une liste de disparitions bien longue : le cas du vol 19 est bien loin d'un cas isolé. Ce qui rend ce lieu si mystérieux et célèbre est la fréquence anormalement élevée de disparitions étranges sans explication scientifique.

    -         En 1880, l'Atalanta, un navire-école britannique avec ses 290 élèves officiers et     tout son équipage.<o:p></o:p>

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    -         En 1902 le trois-mâts allemand la Freya retrouvé abandonné par son équipage,         il errait à la dérive. Des dégâts laissèrent supposer qu'il avait été pris dans une     violente tempête. Pourtant, rien de la sorte n'avait été signalé dans la région<o:p></o:p>

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    -         En 1918, le Cyclop, un charbonnier de la Marine américaine, se volatilise avec 308 hommes d'équipages dont le consul général Alfred Gottschalk, sans SOS, alors qu'une radio était à bord.

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    -         En 1925, le cargo japonais Raifuku Maru envoie le message suivant avant de  disparaître : "Danger like dagger now. Come. Quick !" (Danger poignard. Au secours. Vite !) ? Qu'a voulu dire l'opérateur radio ?<o:p></o:p>

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    -         En 1938, le vapeur l'Anglo-Australien signala : "Temps idéal, tout va bien" avant de pénétrer dans le triangle. On ne l'a jamais revu.<o:p></o:p>

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    -         En 1948, un avion DC3 disparaît à seulement 90 km de Miami alors que le capitaine aurait transmis les informations suivantes : " Nous approchons de l'aéroport... Nous ne sommes plus qu'à 80 km au sud... Nous apercevons les lumières de Miami... Tout va bien. Attendons les instructions pour l'atterrissage. La tour de contrôle de Miami répondit en vain. On ne retrouva jamais le DC 3, bien qu'il eût disparu près des côtes, là où la profondeur de l'eau n'atteint pas plus de 6 mètres.<o:p></o:p>

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    -         En 1950, un cargo costaricain disparaît avec ses 28 membres d'équipage par une mer calme.

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    -         En 1966, le remorqueur de sauvetage Good News fait route de Porto Rico à Fort Lauderdale, lorsqu'il est entouré par un brouillard très épais et secoué par des eaux houleuses. Compas et instruments électriques commencent à se détraquer. Mais dès que le navire sort de cette brume énigmatique, le temps est clair, la mer est redevenue calme et les instruments fonctionnent à nouveau.<o:p></o:p>

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    -         En 1972, le pilote Chuck Wakely vole entre Bimini et Miami. Il croit voir les ailes de son avion devenir translucides. En quelques minutes, l'habitacle du pilote est inondé par une lueur étrange et l'appareil change de direction sans qu'il puisse intervenir. Une fois que la lumière à disparu, les instruments de bord se remettent aussitôt à fonctionner.

    -         En 1972, la Mary Celeste,  disparaît en pénétrant la zone, bien qu'elle n'ait pas été retrouvée dans le triangle mais entre les Açores et Gibraltar, et sans équipage.



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    -         En 1975, la vedette côtière Diligence se porte au secours d'un cargo en flammes lorsque sa radio s'éteint brutalement. De mystérieuses lumières vertes tombent du ciel (selon l'équipage). Là encore aucune explication.<o:p></o:p>

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    -         En 1976, le pétrolier Grand Zénith sombre corps et biens en laissant une large nappe de pétrole, qui disparaît elle aussi peut après...<o:p></o:p>

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    Entre 1945 et 1975, trente-sept avions, une cinquantaine de bateaux et même un sous-marin atomique avec tous leurs équipages respectifs se sont volatilisés sans raison apparente et sans qu'aucun débris ni corps n'aient été retrouvé.

    Hypothèses<o:p></o:p>

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    Au siècle dernier, on mettait ces disparitions sur le dos de serpents de mers géants, de tortues immenses ou même de créatures démoniaques. Depuis, on cherche des causes un peu plus scientifiques ou à défaut plus "modernes".
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    Enlèvements extraterrestres


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    Certains parlent de visiteurs extraterrestres venus de l'espace pour enlever des êtres humains et des appareils modernes afin de les étudier.
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    Perturbations magnétiques.<o:p></o:p>

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    Une solution plus vraisemblable serait la présence de champs magnétiques très puissants susceptibles d'expliquer certains des phénomènes observés, tels que les dérèglements des instruments de bord, mais pas les autres phénomènes étranges observés.<o:p></o:p>

     

    Gaz

    D’après les plusieurs scientifiques, voilà le scénario qui aboutirait à la disparition des avions et des bateaux<o:p></o:p>

    1. Dans le plateau continental, à plus de 500 m de profondeur, à une température inférieure à 5°C, l’hydrate de méthane reste stable. <o:p></o:p>
    2. Quand le fond des mers se fragmente sous l’effet d’un séisme par exemple, d’importantes quantités de méthane s’échappent. <o:p></o:p>
    3. L’hydrate de méthane remonte à la surface de l’eau en bouillonnant. <o:p></o:p>

    Un bateau peut se retrouver prisonnier de cette mer en ébullition. Il perd sa flottabilité et coule. Quand ces importants volumes de méthane atteignent la surface de l’eau, le gaz, plus léger que l’air, monte dans l’atmosphère.
    Quand le moteur de l’avion entre en contact avec le méthane, le gaz s’enflamme et l’appareil explose. Mais cette hypothèse n’explique pas ceux qui ont observé des phénomènes inexpliqués et qui en sont sortis indemnes.
     

    Distorsion spatio-temporelle.

    Une théorie, celle de la distorsion, une sorte de trou noir dans lesquels s'engouffreraient les navires et avions disparus pour réapparaître dans des époques différentes de la nôtre ou dans d'autres dimensions.
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    Les vestiges de l'Atlantide

    Selon certains, on pourrait trouver sous l'eau dans cette zone les reste d'une civilisation, le continent perdu de l’Atlantide.  Les vestiges de leurs technologiques provoquerait la disparition des navires et des avions.
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    Conclusion<o:p></o:p>

    Qu'est-il arrivé à tous les disparus ? Cet endroit, serait-il maudit ?<o:p></o:p>

    Beaucoup d’interrogations avec peu de réponses!      
    Mais, peut être que dans les années à venir, nous serons plus éclairés sur ce que certains marins surnomment comme le « Triangle Maudit » ou encore comme le « Triangle de la Mort ». En attendant, cela reste un énorme point d’interrogation?
      


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  • Voilà pourquoi l'eau de la mer est salée...

    Conte de Chine

    Il y a fort longtemps vivaient en Chine deux frères.
    Wang-l'aîné était le plus fort et brimait sans cesse son cadet. A la mort de leur père, les choses ne s'arrangèrent pas et la vie devint intenable pour Wang-cadet. Wang-l'aîné accapara tout l'héritage du père : la belle maison, le buffle, et tout le bien. Wang-cadet n'eut rien du tout et la misère s'installa bientôt dans sa maison.

    Un jour, il ne lui resta même plus un seul grain de riz. Il ne pourrait pas manger, alors, il se résolut à aller chez son frère aîné.
    Arrivé sur place, il le salua et dit en ces termes :
    -Frère aîné, prête-moi un peu de riz.
    Mais son frère, qui était très avare, refusa tout net de l'aider et le cadet reparti.

    Ne sachant que faire, Wang-cadet s'en alla pêcher au bord de la mer Jaune. La chance n'était pas avec lui car il ne parvint même pas à attraper un seul poisson.
    Il rentrait chez lui les mains vides, la tête basse, le cœur lourd quand soudain, il aperçut une meule au milieu de la route.
    " Ça pourra toujours servir!" , pensa-t-il en ramassant la meule, et il la rapporta à la maison.
    Dès qu'elle l'aperçut, sa femme lui demanda :
    -As-tu fait bonne pêche ? Rapportes-tu beaucoup de poisson ?
    -Non, femme! Il n'y a pas de poisson. Je t'ai apporté une meule.
    -Ah, Wang-cadet, tu sais bien que nous n'avons rien à moudre: il ne reste pas un seul grain à la maison.
    Wang-cadet posa la meule par terre et, de dépit, lui donna un coup de pied. La meule se mit à tourner, à tourner et à moudre. Et il en sortait du sel, des quantité de sel. Elle tournait de plus en plus vite et il en sortait de plus en plus de sel. Wang-cadet et sa femme étaient tout contents de cette aubaine mais la meule tournait, tournait et le tas de sel grandissait, grandissait.

    Wang-cadet commençait à avoir peur et se demandait comment il pourrait bien arrêter la meule. Il pensait, réfléchissait, calculait, il ne trouvait aucun moyen. Soudain, il eut enfin l'idée de la retourner, et elle s'arrêta.

    A partir de ce jour, chaque fois qu'il manquait quelque chose dans la maison, Wang-cadet poussait la meule du pied et obtenait du sel qu'il échangeait avec ses voisins contre ce qui lui était nécessaire. Ils vécurent ainsi à l'abri du besoin, lui et sa femme.

    Mais le frère aîné apprit bien vite comment son cadet avait trouvé le bonheur et il fut assailli par l'envie. Il vint voir son frère et dit :
    -Frère-cadet, prête-moi donc ta meule.
    Le frère cadet aurait préféré garder sa trouvaille pour lui, mais il avait un profond respect pour son frère aîné et il n'osa pas refuser.

    Wang-l'aîné était tellement pressé d'emporter la meule que Wang-cadet n'eut pas le temps de lui expliquer comment il fallait faire pour l'arrêter. Lorsqu'il voulut lui parler, ce dernier était déjà loin, emportant l'objet de sa convoitise

    Il était très heureux, le frère aîné. Il rapporta la meule chez lui et la poussa du pied. La meule se mit à tourner et à moudre du sel. Elle moulut sans relâche, de plus en plus vite. Le tas de sel grandissait, grandissait sans cesse. Il atteignit bien vite le toit de la maison. Les murs craquèrent. La maison allait s'écrouler.

    Wang-l'aîné prit peur. Il ne savait pas comment arrêter la meule. Il eut l'idée de la faire rouler hors de la maison, qui était sur une colline. La meule dévala la pente, roula jusque dans la mer et disparut dans les flots.

    Depuis ce temps-là, elle continue à tourner au fond de la mer et à moudre du sel. Personne n'est allé la retourner.

    Et voilà pourquoi l'eau de la mer est salée


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  • N'arrêtez pas votre esprit à songer à ce que vous avez, mais pensez à ce que vous êtes.
     

    Grégoire Le Grand


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  • 24 mai
    1883
    De Brooklyn à Manhattan, en passant par l'East River...
    Après quatorze ans de labeur et une vingtaine de victimes dont l'ingénieur John Roebling, le pont suspendu de Brooklyn s'est ouvert au trafic le 24 mai 1883. Il relie le quartier de Brooklyn à Manhattan, en traversant l'East River. Il dispose d'une portée centrale de 480 mètres. La passerelle supérieure du pont est réservée aux piétons et offre une vue exceptionnelle sur Manhattan.


    24 mai
    1844
    Les ondes parlent
    Ce jour-là circule le premier message télégraphique entre Washington et Baltimore. Samuel Morse, artiste peintre de son état, en est l’inventeur. Utilisant le principe de l’électro-aimant, il met au point un alphabet constitué de points et de traits, capable d’être transmis par des fils électriques. Désormais, les ondes électriques parlent ! La première ligne française est construite en 1844.

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