• 10 juillet
    1873
    Coup de feu
    Les grands poètes Rimbaud et Verlaine ont une relation tumultueuse. En 1873, après plusieurs années difficiles, Verlaine souhaitant retourner auprès de sa femme et se dispute avec Rimbaud. En état d'ébriété, il sort un revolver et tire sur Rimbaud. Celui-ci n'est que légèrement blessé au poignet mais Verlaine sera condamné à deux ans de prison par la justice belge, un épisode qui le marquera et mettra fin à une des histoires les plus passionnées du XIXe siècle.

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  • Si je me retourne, sentant une présence,

    Je ne vois rien que des ombres,

    Le rythme d’une vie est ainsi fait de contre-sens, de non-sens et puis d’absence,

    Le regard en arrière ne m’apprend plus rien, juste me rappelle que quelque part,

    Bien à l’abri pour l’éternité, des cases se sont refermées,

     <o:p></o:p>

    Vaste programme qu’il me faut accomplir pour satisfaire l’espace inconnu que je veux remplir

    Ne pas laisser la paresse influencer le sens de ma vie,

    Réapprendre à regarder ce qui m’entoure, à sourire dans le vent,

    Tendre les bras pour saisir à bras le corps ces morceaux de destin,

     <o:p></o:p>

    Rêves éveillés auxquels je résiste, je ne veux surtout pas dormir,

    Je veux vivre pleinement tout ces merveilleux présents,

    Je reçois ce cadeau sereine, émerveillée,

    J’attend pour le savourer car c’est certain tout est bien programmé,

     <o:p></o:p>

    Mes mains ouvertes, paumes tournées vers le ciel, je ne veux que partager.

    Viviane.B.


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  • 8 juillet
    1856
    Troueuse automatique
    Charles E. Barnes de Lowell aux USA, dépose un brevet pour un "canon automatique amélioré". C'est en fait la première mitrailleuse. Sa fréquence de tir dépend de la vitesse à laquelle est tournée la manivelle qui la met en action. Avec cette invention et ses améliorations successives, la puissance de feu ne dépend plus réellement du nombre d'hommes engagés au combat.

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  • Ce n’est pas parce que le cabri fait des crottes comme des pilules

     qu’il est pharmacien.(Créole)


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  • L'homme descendu songe

    L’homme descend du songe
    Par le chemin de grève
    Par la berge qu’on longe
    Pour atteindre le rêve

    La vie est elle un songe
    Que ta gaîté prolonge
    La ressource le plaisir
    Où s’étouffent les soupirs

    Pour un rire de toi
    Je ferai une grimace
    Qui rime hors la loi
    Avec quelle audace !

    L’homme descend du songe
    Du rire d’Adam et rêve
    Dans le soir qui s’allonge
    A la pomme, à la fève

    Si la vie est un songe
    Pince moi réveille moi
    Efface, passe l’éponge
    Sur cette année d’effroi

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