• Un Hiver 2006

    Un Hiver 2006

     

    A ma fenêtre, un pale soleil, si pale que même le fleuve paraît triste

    Le seul cri des mouettes se regroupant au passage des péniches,

    donne l’envie de scruter ce qui peut bien les affoler de la sorte.

    Elles trouvent une parade à la monotonie de cet hiver,

    Ni froid, ni doux,

    Juste de temps à autre un manteau de crachin, et le vent,

    Ce vent en rafales,

    Quand le soir descend, la saison s’efface,

    Rien que la nuit,

    les lumières de la ville au-delà des quais, au-delà du pont,

    Toutes ces touches de vie me font rêver,

    Et là, seulement là je me sens bien.

     

    Viviane B.

     


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