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    Chez "DUDU" l'autre jour avec des potes, on a remarqué un truc bizarre.

    Tous les serveurs et serveuses avaient une petite cuillère dans la poche de leur chemisette.

    Aussi quand le serveur est venu prendre la commande, j'ai demandé  :

    - Pourquoi  portez-vous tous une petite cuillère?

    Il m'expliqua que Dudu avait demandé conseil à Andersen Consulting qui, après des mois d'analyses, a conclu que la petite cuillère était le  couvert qui tombait le plus souvent, à une fréquence de 3 cuillères/table/heure!

    Depuis ils n'ont plus besoin de courir à la cuisine pour chercher une nouvelle cuillère. L'économie de rendement en temps de travail est  estimée à 5,21%. L'indice de satisfaction du client se trouve également accru de 3,75%.

    Deux minutes plus tard je faisais tomber ma petite cuillère et ça n'a  pas manqué : le serveur m'a aussitôt apporté sa cuillère en me disant qu'il en  prendrait une autre à son prochain passage en cuisine. Bravo Andersen!

    Mais plus curieux, les serveurs avaient tous une ficelle qui dépassait  un petit peu de leur braguette. Quand il nous a amené l'addition, j'ai demandé au serveur à quoi servait cette ficelle.

    - Bien observé, me dit-il en baissant la voix, Andersen Consulting a  aussi vu que nous pouvions gagner du temps dans les toilettes ..

    La ficelle est attachée autour du pénis, on peut donc le sortir sans le toucher et éviter d'avoir à se laver les mains, ce qui représente une économie d'eau, et le temps passé aux toilettes est réduit d'environ 7,39 %.

    - Après l'avoir sorti, comment le remettez-vous dedans sans le toucher demandais-je ?

    - Eh bien, me dit-il en chuchotant, je sais pas pour les autres... Mais moi, je me sers de la petite cuillère...

     




     

     

     

     

     

     


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  • La nature nous a donné deux oreilles et une langue afin de pouvoir écouter davantage et parler moins. 

    Diaogène Laërce
     


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  • Pourquoi les crocodiles ne mangent pas les poules ?

    (AFRIQUE)

    Une poule... Une poule avait pour habitude de descendre chaque jour au bord de la rivière afin d’y chercher de la nourriture. Un crocodile la regardait l’estomac envieux de la voir si grassouillette. 

    Un jour, le crocodile vient près d'elle et menace de la manger mais la poule s’écrie : 
    -  Frère, O mon frère, ne faites pas cela ! Le crocodile en est si troublé qu'il s'en va, pensant qu'il pouvait bien être le frère de la poule.
    Chaque matin, il revient près de la rive la rive, bien décidé à faire de la poule son repas. Chaque matin, la poule se met à crier :
    -  Frère, O mon frère, ne faites pas cela ! Et le crocodile s’en va en maudissant la poule. 

    Comment puis-je donc être le frère de cette poule, se demande un jour le crocodile ?  Elle vit sur la terre, et moi je vis dans l'eau. Elle est dodue et moi je ne suis qu’un sac d’os. Je vais aller voir mon ami Mbambi afin de l'interroger et régler une fois pour toute la question. Un crocodile se posait des question

    Le crocodile se met en route. Il n'était pas encore bien loin quand il rencontre son ami Mbambi une sorte d’immense lézard.

    -  Mbambi, lui dit-il, je suis très troublé.  Tous les jours, une jolie poule grasse vient au fleuve pour manger; chaque jour, quand je veux la saisir et l'emporter chez moi pour la manger, elle m'effraie et m'appelle son frère. Je me suis dit que je ne pouvais pas rester ainsi plus longtemps et j’allais trouver Mbambi pour tenir une palabre avec lui.

    Mbambi, son ami -  Oh ! tu n’es qu’un sot, répond Mbambi. Tu ne dois rien faire de tout cela car autrement, tu perdrais tes paroles et tu montrerais que tu es un ignorant. Ne sais-tu pas, mon cher crocodile, que les canards vivent dans l'eau et pondent des œufs et que les tortues en font de même. Moi aussi, d'ailleurs, je ponds des œufs, tout comme les poules. Et toi, mon stupide ami, que fais-tu donc ? Nous sommes donc tous frères dans un certain sens. C'est pour cette raison que les crocodiles ne mangent pas les poules.

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  • JURONS ET INJURES D'HIER ET D'AUJOURD'HUI - Les mots mal famés

    Brassens en avait fait une chanson :

    « Voici la ronde des jurons
    Qui chantaient clair, qui dansaient rond,
    Quand les Gaulois
    De bon aloi
    Du franc-parler suivaient la loi »




    Malgré le talent incontesté du poète sétois, les jurons qu'il égrène appartiennent plus au monde de François Villon qu'au nôtre. Tout au plus, trouveraient-ils leur place dans le livre de Bernard Pivot : « 100 mots à sauver », tant leur usage s'est perdu au fil du temps. Qui se souvient encore des vertudieu, pasquedieu ou jarnidieu ?
    On en a presque oublié que ces mots qui, jadis, sentaient le soufre, parce qu'ils étaient jugés blasphématoires par l'Eglise, pouvaient valoir à ceux qui les proféraient, sinon le bûcher, du moins des châtiments exquis sur lesquels la Sainte Inquisition avait la haute main.
    Ainsi Parbleu, pour échapper au courroux ecclésial était l'altération euphémique du juron « par Dieu ». Substituer « bleu » à Dieu à une époque où l'on ne plaisantait guère avec la religion était une sage précaution, à l'instar de morbleu (mort de Dieu), palsambleu (par le sang de Dieu), jarnibleu (je renie Dieu), ventrebleu, vertubleu. Ce qui faisait dire à Prévert que « Dieu comme Picasso avait eu sa période bleue ».
    Le verbe « sacrer », pour des raisons identiques, a engendré une kyrielle de jurons comme sacrebleu, sacrédié et saperlipopette, suffixation de saperlotte, interjection elle-même issue du couple sapristi-sacristi. Rimbaud inventera bien plus tard, sur le même modèle i[saperlipopette] et saperpouillotte !

    Mais les injures sont-elles des jurons ?


    JURONS ET INJURES D'HIER ET D'AUJOURD'HUI - Les mots mal famés (suite)
    On peut considérer que les jurons sont des injures que l'on s'adresse à soi-même, alors que les injures sont des jurons que l'on adresse à autrui. Ainsi, peut-on s'écrier « putain ! » si l'on tape sur ses doigts avec un marteau et traiter un quidam de « fils de pute !» s'il vous frappe avec le même outil !
    Force est de constater que dans le langage des cités où la modération n'est guère de mise, jurons et injures fusent de tous bords : ras-le-bol ! (et sa variante plus imagée ras-le-cul !), ça baigne ! ça mousse ! bordel ! ça crache ! ça me plombe !(cela m'ennuie ), c'est trop halluciné ! (je n'en reviens pas), zarma ! (putain !), relou ! bouffon ! (mot français du XVIème siècle dérivé de l'italien buffone), chelaouam ! (verlan de lâche-moi !). Quant à fuck ! chapiteau ! à connotations sexuelles, ils font presque pâle figure à côté des injures et interjections diverses, ethniques et racistes : toubab, fils de Clovis, blonblon, Chabert, rillette, roum et roumi pour désigner tout homme blanc. L'asiatique : un bridé, miaou ou tchouné (déformation phonétique de chinois), l'africain : un black, cafard, blacko, kahlouche(un noir en langue arabe), Keubla ou greune(verlan de black et de nègre), l'arabe : rabza, rabzouille, reubeu, sidi.
    Les policiers ne sont pas en reste et sont affublés de surnoms tout aussi pittoresques qu'injurieux comme arhnouch (le serpent en arabe dialectal marocain, parce que le policier siffle comme un serpent), condé(en argot l'indicateur du policier), keuf, coy, (McCoy héros de série policière américaine) ou encore guisdé-kisdé(qui se déguise et désigne le policier en civil)etc…
    En un mot, l'imagination au pouvoir ! De quoi rassurer tous ceux qui craignaient que le français ne devînt une langue morte !


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  • La gaufre Liégeois est cette gaufre épaisse que nombre d'entre vous apprécie depuis leur plus jeune âge.

    Ingrédients
    Pour 15 à 25 gaufres

    • 1 kg de farine
    • 75 gr de levure
    • 5 dl de lait et eau (tempérés)
    • 50 gr de sucre sciure (fin/semoule)
    • 2 oeufs
    • 500 gr de margarine 
    • 50 gr de miel
    • 10 gr de sel
    • vanilline ou cannelle
    • 3 gr de bicarbonate de soude
    • 600 gr de sucre perlé (gros)                                     
    • Faites une pâte levain avec 800gr de farine, la levure, 5 dl de lait et d'eau, le sucre sciure et les oeufs
      Laissez pousser pendant 15 minutes puis ajouter la margarine, le miel, 200gr de farine, le sel et la vanille ainsi que le bicarbonate de soude
    • Pétrissez le tout pour obtenir une pâte homogène et laissez pousser pendant 10 minutes dans un endroit tempéré
      Ajoutez ensuite le sucre perlé et divisez en pâtons de 90 à 140gr selon le fer dont vous disposez et laissez pousser un peu
    • Faites cuire à feu doux pour les grosses gaufres et à bon feu pour les fers à mailles peu profondes.


          


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